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Lisez moi bien s'il vous plait : j'ai parlé
d'échec d'insertion professionnelle et non d'échec personnel. Quant au
débat économique, c'est comme pour l'Académie des Beaux Arts ou autres Ecoles
Boulle ou Gobelins : Aux français de savoir s'ils veulent se donner les moyens
de leur politique ou acceptent de n'avoir que la politique de leurs moyens. Mais
on ne peut avoir les deux. Christian GUERIN
----- Original Message -----
Sent: Sunday, January 11, 2004 1:31
PM
Subject: Re: professeurs de chant et
polyphonie
Dans un
e-mail daté du 11/01/04 10:39:04 Paris, Madrid, aulnay@xxxxfr a écrit :
. Il faut savoir que les conservatoires de musique nationaux
Français ont un taux d'insertion professionnelle des médaillés chanteurs
inférieurs à 20% aux dires des professeurs eux même. 80% d'échec, c'est
vraiment de l'argen fichu
AH ! toujours l'argent, mais
quand meme la passion du chant n'a rien à voir avec l'argent et heureusement
d'ailleurs. Les médaillés chanteurs pratiquent peut etre
plus par passion que les instrumentistes et n'ont donc pas forcement envie
d'en faire leur métier, d'autant plus qu'ils sont plus agés que les
intrumentistes quand ils arrivent à leur médaille et qu'ils ont déjà du
assurer leur avenir professionnel par ailleurs. 80% des médaillés ne
gagnent pas leur vie avec le chant mais doit on considerer ça comme un
pourcentage d 'echec ? Je ne veux pas le croire, ce serait enlever
tout la partie magique du chant et de son apprentissage. En
plus faire de sa passion son métier n'est pas forcement une bonne idée
pour conserver une passion intacte dans n'importe quel domaine que ce
soit ...
Cordialement FM
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